lundi 20 avril 2009

Chevrette en mue

Dimanche soir 19 avril, retour sur mon lieu de prédilection. Je me poste à l'affût et j'attend 1h30 et toujours pas de chevreuils à l'horizon. Je décide d'abandonner mais je scrute tout de même l'horizon avec mes jumelles en espérant en apercevoir quelques-uns. Je longe le bois tout doucement et là, juste dans le bas du champ 2 chevrettes en train de manger. Elles sont à peine à 15 m de moi, je ne bouge plus sous mon filet, par chance elles ne m'ont pas vu et elles n'entendent même pas le clic-clac de mon boitier (merci la housse anti-bruit), une d'entre-elles s'approche un peu et je fais 4 à 5 photos ensuite 2 minutes plus tard elles courent dans le bois sans être inquiétées. En pensant rentrer bredouille, j'ai eu la chance de ramener quand même quelques clichés.

Chevreuils dans la brume

Mercredi 15 avril, il est 5h quand je me lève du lit. Je me rend sur mon coin à chevreuils préféré, une petite demi-heure plus tard j'arrive sur le lieu et il faut une bonne vingtaine de minutes à pied pour accéder à l'endroit déjà repéré la veille. Il ne fait pas encore jour et la brume a envahie la campagne depuis un bon moment déjà. 6h, sur le chemin du lieu de rendez-vous, j'aperçois déjà 2 chevreuils sur le pré des vaches qui m'ont vus et qui ne tardent pas à filer. Je me poste à l'affût et une demi-heure plus tard, 2 autres chevreuils sortent du bois à ma droite, ceux-là ne m'ont pas vus mais je suis bien camouflé. Ils sont tranquille, courent dans le champ et j'ai juste le temps de réaliser quelques photos qu'ils repartent aussitôt dans le bois. Une belle rencontre et un pure moment de plaisir dans une atmosphère mystérieuse et magique.














Les autres images sur http://www.davidfragonard.com/ dans "nouveautés"

mercredi 8 avril 2009

Lièvres et chevreuils en Moselle

Lundi en fin d'après-midi, je me rend sur mon site préféré de Jezainville, le parc naturel de Lorraine où coule l'Esch, une petite rivière au pied des pelouses calcaires.
Après de nombreux jours de repérages, je peux enfin me dissimuler sous mon filet de camouflage et attendre mes mammifères. C'est un lièvre qui apparait en premier devant mon objectif à 30-40 mètres ensuite vient une jeune chevrette. Je tente une approche et arrive à la photographier à une distance de 50 mètres environ sans qu'elle ne décèle ma présence. Quand la lumière décline, c'est un jeune brocard qui regagne la forêt à droite et ensuite un adulte qui se poste au sommet à la nuit tombante. Série complète sur http://www.davidfragonard.com/ dans l'onglet "nouveautés".